Ce lundi 31 mars ensoleillé nous sommes 62 à Greux pour un parcours de 11 km (12 km pour les 21 plus courageux) qui nous conduit d’abord à Domrémy-la-Pucelle. L’église Saint Rémy a été transformée à plusieurs reprises comme l’indiquent les dates figurant sur les clefs de voûte. Seraient contemporains de Jeanne d’Arc : la grande voûte, les piliers, le bénitier, une statue de Sainte Marguerite du 14ème siècle, et la cuve baptismale qui se présente comme un bloc de calcaire octogonal.
Ce vendredi 28 mars ensoleillé nous sommes 37 au refuge des chasseurs de Maxey sur Vaise au lieu-dit la Scée pour un parcours de 7,8 km entièrement dans les bois. Nous marchons d’abord vers deux des fontaines qui entourent Maxey : la Fontaine de l’Erable et la Fontaine de la Chavée. Le soleil a fait s’épanouir autour de nous Violettes, Scilles et Pervenches bleues, Anémones blanches et Coucous jaunes. Puis nous nous dirigeons vers le Vau de Bure et ensuite vers la Voie des Charmes. Les chemins portent les empreintes du fouissage des sangliers.
Nous sommes 16 (+1) au départ à l'entrée du village pour une rando guidée par Jean Marie (le pagnotin). Nous longeons le canal jusqu'à l'usine de récupération de métaux et c'est là que nous rejoint le n° 17 : Bernadette que nous avons tous plaisir à retrouver après sa convalescence.
Après la pause friandises, nous cheminons lentement jusqu'au port et nous terminons notre circuit par un petit tour dans les arrières du village.
Une belle rando de 5.2 km, tout à plat, par un temps idéal avec du soleil jouant à cache-cache.
Suite à un désistement de dernière minute, nous sommes 62 au départ de Vaucouleurs pour la journée au Lac du Der.
Le premier groupe de 44, guidé par Denis démarre de la Maison forestière de Beaulieu pour un parcours de 9.5 km. Le deuxième groupe de 18, guidé par Jean Paul démarre plus loin pour un parcours de 6.5 km.
A travers bois, puis campagne, nous arrivons au lac en allant jusqu'à l'église de Champaubert qui a été déconstruite, puis reconstruite au bord du Lac en souvenir du village englouti.
Dès l'après-midi, les baliseurs du Pied Champêtre ont fléché le parcours de la marche nocturne organisée par les écoles en vue de financer un voyage à Guédélon (Yonne) où se termine un chantier de construction d'un château-fort suivant les techniques du Moyen-âge.
A la tombée de la nuit, 210 marcheurs sont prêts pour la montée vers le plateau de Bussy avec un premier ravitaillement au stand de tir.
Environ les 3/4 suivent le parcours de 4 km et redescendent en empruntant le parcours de santé.
L'autre quart, soit une cinquantaine de personnes dont des enfants de 5 ans, empruntent le parcours des 10 km en passant devant l'ancienne ferme de Burniqueville avec quelques gouttes de pluie, puis Montigny où la municipalité nous a accueillis chaleureusement avec un ravitaillement bien garni.
Retour par le GR 703 et arrivée à la Salle des Fêtes avec un verre de soupe offert, puis possibilité de se rassasier avec croque-monsieurs, pizzas, quiches, crêpes et bière pression.
Merci aux organisateurs et aux marcheurs qui ont eu plaisir à participer à une belle action.
Ce vendredi 21 mars nous somme 38 à Villeroy sur Méholle pour un parcours de 7,6 km. La Méholle vient grossir la Meuse. Sa vallée est presque entièrement occupée par le canal de la Marne au Rhin qui y débouche en provenance de la vallée de l’Ornain par le tunnel de Mauvages. La Méholle prend sa source dans les bois sur le territoire de Mauvages. Longue de 17,7 km, elle baigne Mauvages, Villeroy sur Méholle, Sauvoy, et Void-Vacon où elle se jette dans le Vidus puis dans la Meuse.
Ce mercredi 19 mars sous un soleil radieux, nous sommes 21 devant l’église de Rigny St Martin pour une balade de 5 km qui nous conduit à Rigny la Salle. L’église Saint Martin de Rigny-Saint-Martin, construite en 1849 et restaurée en 1893, est de forme ronde rarissime.
Nous empruntons le chemin des morts. La peste entre 1630 et 1640 a donné au chemin entre Rigny la Salle et le cimetière qui se trouvait situé à Rigny Saint Martin, le nom de chemin des morts. Nous arrivons à Rigny la Salle devant la Croix érigée par la famille Gastiner en remerciement pour avoir été épargnée par l’épidémie de choléra de 1854.
Ce lundi 17 mars très ensoleillé nous sommes 67 à Saulxures les Vannes pour un parcours de 9 km (11 km pour les 23 plus courageux). Par ce temps clair, la vue sur la vallée vers Barisey au Plain jusqu’à Colombey les Belles est bien dégagée. Nous partons sur le chemin qui relie Saulxures à Sauvigny en laissant le Bois des Seigneurs de côté pour arpenter le Bois de Saulxures bien entretenu et lumineux. Nous traversons la Tranchée des Cosaques. Notre parcours nécessite une modification qui nous permet d’emprunter des chemins larges et agréables pour rejoindre la Ligne du Té que nous suivons puis nous traversons le lieu-dit Les Fagivaux en direction de Mont l’Etroit.
Nous sommes 23 en service commandé pour cueillir des jonquilles destinées à la décoration des tables du repas de l'AG du lendemain.
Sur la première moitié du parcours, nous suivons de beaux chemins blancs bordés de restes de neige. Par un temps frisquet, nous profitons d'un soleil timide qui réchauffe l'atmosphère.
En fin de parcours, nous arrivons dans la même zone de jonquilles que lundi, mais par un chemin différent.
Dans les immenses parterres de jonquilles bien fleuries, nous faisons notre cueillette qui va enchanter la responsable de la décoration.
Une belle rando agréable de 7.6 km à plat, agrémentée de montagnes russes en fin de parcours.
Nous sommes 19 courageux au départ de Montigny les Vaucouleurs sous un froid sibérien.
Nous rejoignons le village le long du ruisseau, puis direction le Trou du Loup et les vestiges (tour carrée) de l'ancienne ferme Becker à Burniqueville
Randonnée de 5 km avec peu de dénivelé.
Martial
Ce lundi 10 mars pluvieux nous sommes 48 dans le Bois d’Abainville près d’Amanty pour un parcours de 9 km (10 km pour les 17 plus courageux) mais surtout pour cueillir des jonquilles. Ce « Narcisse Trompette » jaune, présent en Europe comme en Asie, tire son nom de la légende de Narcisse, jeune homme d’une grande beauté amoureux de lui-même, mort de cette passion, dont le corps fut trouvé sur un parterre de ces fleurs. L’appellation jonquille en France daterait de 1596.
Ce vendredi 07 mars, sous un soleil radieux et un ciel d'un bleu … nous sommes 34 à stationner devant l'église remarquable de Rigny Saint Martin. Le parcours de 7.7 Kms avec un dénivelé de 146 m, nous emmena sur Gibeaumeix en suivant l'Aroffe. S'en suivit une belle petite grimpette que chacun put effectuer à son rythme. Après une partie propre et sèche, un chemin gras, alimenté par différentes sources, nous permit de rejoindre la dernière descente. C'est toujours sous un ciel sans nuage et une température très douce appréciée de tous que nous rentrons dans Rigny Saint Martin après 2 heures de bonne randonnée.
Jean Luc
Nous sommes 24 marcheurs, dont 6 hommes, au départ du parking des jonquilles au-dessus d'Amanty pour un parcours de 5,600 kms .
A la fin de la rando, c'est la cueillette traditionnelle des jonquilles déjà bien fleuries .
Ce soleil radieux nous a fait rencontrer de nombreux cueilleurs dans le bois.
Jean Paul
Ce lundi 3 mars très ensoleillé nous sommes 64 devant l’église de Vacon pour un parcours vallonné de 9,8 km (11,2 km pour les 20 plus courageux)
Tout près de Vacon se trouve le berceau des abbayes des Prémontrés en Lorraine. Vers 1140, des chanoines réguliers de l’Ordre des Prémontrés, installés à Gévaux à quelques kilomètres de Commercy, vinrent s’installer à Rieval (commune de Mesnil la Horgne) sur proposition de Renaud Comte de Bar et de son épouse Gisèle de Vaudémont. Pour la fondation, seigneurs, chevaliers, bourgeois et paysans faisaient des dons qui pouvaient être un fief (terre, domaine), une vigne, un pré, un moulin, ou une portion de bois.
Ce vendredi 28 février nous sommes 38 à Trondes pour un parcours de 7,6 km qui nous conduit à Laneuveville-derrière-Foug.
Des vestiges gallo-romains attestent de l’ancienneté de Trondes dont le saint-patron est Saint Elophe. L’église, construite à partir de 1340 à l’emplacement d’une ancienne église romane, lui est dédiée. Elophe, né en Lorraine, fut décapité en 362 une semaine après sa sœur Libaire.
Ce lundi 24 février nous sommes 54 à 2 km à l’intérieur du Bois de Rigny la Salle pour un parcours vallonné en forêt de 10 km environ (11,8 km pour les 21 les plus courageux) à la recherche des nivéoles.
Lassés de l’hiver nous guettons les signes précurseurs du printemps. Quelques pâquerettes et primevères ont fait leur apparition mais nous recherchons la profusion des nivéoles. Proches des perce-neige, ces petites plantes sont les premières à tapisser les bois avant les lumineuses jonquilles, les blanches anémones et les pervenches bleues. Six pétales blancs terminés en pointe verte forment une cloche pendante au bout de la tige. A l’intérieur les étamines sont jaune vif.
Ce vendredi 21 février ensoleillé et doux nous sommes 27 à Chalaines pour un parcours de 7,5 km. Nous empruntons d’abord le GR 703 qui nous fait passer de la vallée de la Meuse à la vallée de l’Aroffe. L’Aroffe long de 50 km prend sa source à Beuvezin (54). Il disparait par endroit sous terre à partir de Gémonville et réapparait à Barisey au Plain. A Rigny Saint Martin il reçoit le ruisseau Saint Fiacre et prend le nom de Baumelle puis de Goulot de Meuse. Il se jette dans la Meuse à Rigny la Salle (55). Mais une autre partie de l’Aroffe va dans la Moselle. Pour rejoindre la Moselle l’Aroffe devient souterrain et ressort, mêlé aux nombreuses sources du bassin de Bouvade, à Crézilles (deuille de Crézilles), à Moutrot (trou des Glanes, trou du Chahalot) et à Ochey (deuille d’Ochey). Il se jette finalement dans la Moselle par le Larot à Pierre la Treiche et par le Chaudeau à Bicqueley/Toul.
Nous sommes 18 au départ de Sauvoy derrière le château. Nous longeons le canal de la Marne au Rhin jusqu'à l'ancien Café de la Marine.
Puis nous marchons jusqu'au château de Béhilleux. Retour en longeant la rigole d'alimentation du canal.
Belle petite marche de 5 km sous un soleil timide, mais agréable.
Martial
Ce lundi 17 février ensoleillé nous sommes 59 à l’entrée de Blénod les Toul au carrefour avec la D 114 venant d’Uruffe, pour effectuer un parcours de 9,5 km (11,6 km pour les 14 courageux).
Blénod a vu naître Hugues des Hazards, Evêque de Toul, qui construisit l’église Saint Médard. En 1516, il a récompensé les « manants » et habitants de Blénod pour l’aide apportée dans les constructions de l’église, du palais épiscopal et les réparations de la forteresse, en leur octroyant le droit de bâtir loges et maisonnettes dans son château sans qu’ils aient à payer de redevance.
Ce vendredi 14 février froid nous sommes 32 au lieu-dit les 4 Bans sur la D113 entre Vannes et Blénod. Notre parcours de 7,6 km se déroule dans le Bois de Vannes et commence au totem pyramidal qui marque l’une des entrées du circuit balisé Cœur de Vert au sein de la forêt de Meine. Ce circuit est ponctué par des stèles évoquant les insectes et les animaux de la forêt. Nous abandonnons rapidement ce sentier balisé pour rejoindre en fond de vallée un chemin large et bien entretenu dont la particularité est de former une boucle de 6 km. Il coupe des sommières aux noms évocateurs : sommière de la Bellière, sommière des chaufours, sommière du cul de sac. Les arbres qui nous entourent sont nus et le sol tapissé de feuilles mortes mais les fleurs vert tendre des nombreux hellébores au bord de notre route témoignent de l’imminence du printemps.
Le soleil du départ nous a abandonné en cours de balade mais les nombreuses friandises offertes au long du parcours ont contribué à nous réchauffer.
Mireille
On ne peut plus se fier à la métèo qui avait prévu la fin de la pluie à 14h00, car en réalité la pluie s'est arrêtée à 14h15 au moment du départ. C'est pour cette raison que Denis se retrouve comme un coq en pâte avec 7 courageuses marcheuses.
Le petit groupe suit au début le même parcours que vendredi en empruntant la variante du GR 703 en pente douce jusqu'à l'entrée de la forêt domaniale de Montigny. Le rythme est "pian pian" avec trois arrêts friandises...
Le chemin du retour a été perturbé par des inquiétudes : une avait perdu son écharpe et l'autre son téléphone (qui ne sonnait pas malgré les appels).
La pluie est juste revenue dans la descente vers Montigny, où nous sommes accueillis avec les 4 coups de 16h00 après un parcours de 5 km.
Le premier réflexe a été de vérifier que les "objets perdus" avaient été oubliés bien au sec dans les véhicules!!!
Ce lundi 10 février, sous la pluie, nous sommes 47 à Troussey pour un parcours en plaine de 9,5 km pour 31 marcheurs et 11,8 km pour les 16 les plus courageux.
En 2016, un habitant de Troussey, passionné, nous avait raconté son village dont une douzaine de maisons ont conservé les traditionnelles niches occupées par la statue d’un saint protecteur. L’histoire de l’église Saint Laurent est marquée par les guerres qui ont ensanglanté la région au fil des siècles.
En ce vendredi sans brouillard, nous sommes 34 au départ de Montigny pour une rando de 7.5 km vers la Forêt Domaniale.
Pour guider la rando, Denis est assisté par Fabienne qui est en formation pour le certificat d'animateur. Ayant déjà préparé son tableau de marche, elle mesure l'azimut au point de départ. et nous voilà parti en suivant la variante du GR 703. Pour entrer dans la forêt et à chaque changement de direction, Fabienne prend l'azimut et nous donne la bonne direction.
Ce mercredi 5 février nous sommes 20 sur le sommet de la Côte des Vignes pour un parcours de 5 km. Nous nous acheminons dans un brouillard épais vers l’ancienne Batterie de Pagny, poste avancé du Fort de Pagny. A 353 m d’altitude, nous devrions évoluer dans un décor très minéral d’éboulis de calcaire blanc, résultat de l’érosion par la rivière de Chêtre, affluent de la Meuse, qui coule au pied de la côte ainsi que de la désagrégation du calcaire par la pluie et le gel. Nous devrions profiter au sud-ouest d’un point de vue sur la vallée de la Meuse, Taillancourt, Montbras et son château typiquement Renaissance. Eu égard à la brume qui nous enveloppe et nous prive de tout panorama, nous renonçons à aller jusqu’au terrain de décollage des parapentes.
Nous revenons vers le Fort de Pagny aujourd’hui propriété privée et passons non loin de la Batterie d’Uruffe, poste avancé du Fort vers la vallée de l’Aroffe, Vannes le Chatel, et au loin Colombey les Belles. Mais de tout cela nous ne verrons rien aujourd’hui.
Tant pis, ce sera pour une prochaine fois. Nous avons marché en bavardant et c’est l’essentiel.
Mireille
Ce lundi 3 février très brumeux nous sommes 65 à Ménil la Horgne pour un parcours de 10km (11,5 km pour les 21 plus courageux d’entre nous) qui nous conduit à Méligny le Grand.
Ménil la Horgne a été construit sur le site de l’ancienne Abbaye de Riéval fondée au XIIème Siècle qui disparut définitivement dans un incendie en 1830. Les fonts baptismaux de l’Eglise paroissiale St Bénigne construite en 1840 proviennent de cette abbaye. Près de l’église se trouve le buste de Dom Calmet né dans ce village en 1672.
Fils du maréchal-ferrant, il entre à 15 ans à l’Université de Pont à Mousson. Bénédictin, il prononce ses vœux à l’Abbaye St Mansuy de Toul en 1689. Il est successivement nommé prieur à Lay St Christophe, puis abbé de St Léopold de Nancy et abbé de Senones en 1728.
Ce vendredi 31 janvier nous sommes 39 à Mauvages pour un parcours de 7,5 km.
Nous laissons nos véhicules devant l’église Saint Pantaléon du XIIIème siècle reconstruite au XVIIIème siècle qui a gardé, d’un sanctuaire d’origine, un portail roman du XIème siècle. A côté se trouve la remarquable fontaine du Deo réalisée en 1831. Les travaux furent confiés, non pas à un entrepreneur local mais à un architecte célèbre dans la Meuse Théodore Oudet. Pour cet ouvrage, Oudet, formé à Paris, a été influencé par l’égyptomanie qui a suivi la campagne d’Egypte de Bonaparte et les travaux de Champollion. Ainsi devant un péristyle orné de quatre colonnes se tient un serviteur égyptien vêtu d’un simple pagne portant deux jarres dont l’eau s’échappe.
Ce lundi 27 janvier nous sommes 57 sur l’aire de pique-nique (D964) près de Burey la Côte pour un parcours de 9 km (plus des 10,5 km prévus pour les 20 plus courageux contraints de changer de parcours en raison d’inondations).
Depuis le parking nous montons dans le Bois de Burey la Côte par le lieu-dit Devant le Bois. Nous déambulons sur plus de 2 km avant de retrouver très brièvement le GR 703 GRP Jeanne d’Arc. Une partie d’entre nous choisissent d’éviter le relief et de rejoindre tout droit le lieu-dit le Vigneux. Les autres s’engagent dans une belle descente, un peu de plat en fond de talweg et une montée bien raide au lieu-dit les Gravinottes.
Ce vendredi 24 janvier nous sommes 30 devant le lavoir de Burey en Vaux pour un parcours de 7,96 km. Le lavoir a été construit de 1847 à 1849. La maçonnerie est en pierre d’Euville. Tout à côté on nous désigne les ruines d’une maison où auraient demeuré la sœur d’Isabelle Romée, mère de Jeanne d’Arc, et son époux Durant Laxart.
Burey faisait partie de la seigneurie de Vaucouleurs détenue par les Sires de Joinville qu’ils ont cédée au Roi de France au milieu du 14ème siècle par échange de terres.
Nous sommes 23 au départ d'Ugny sous la conduite de Jean Paul.
Petit circuit dans le centre ville du village puis direction Saint Germain par l'ancienne voie ferrée.
Un petit tour dans Saint Germain, puis retour par la voix ferrée en raison des chemins impraticables
Randonnée très agréable sous un soleil timide mais réconfortant
Martial
En ce lundi frais et brumeux, nous sommes 61 (18+43) à proximité du pont de Champougny pour une rando de 9.6 km et 11.7 km pour les plus vaillants. Après la traversée du village nous montons sur de bons chemins en pente douce et régulière vers le Fort de Pagny.
Ensuite ça se gâte : après le passage du troupeau de moutons de la Biquotte, le chemin est rendu glissant. Puis au lieudit La Croix Gérard sur le territoire d'Uruffe, nous empruntons un chemin récemment labouré sur une grande partie : un vrai parcours du combattant. Sur le plateau, certaines parties de chemins sont rendus glissants et collants par l'effet du dégel, d'où du grognement dans les troupes...
Par une longue descente nous arrivons sur la RD 145 que nous suivons sur 1 km pour arriver bien contents à Champougny, mais avec des chaussures bien crottées...
Ce vendredi 17 janvier nous sommes 30 au bord de l’étang de Létange pour une balade de 7,4 km noyée dans la brume. Nous suivons la rive de l’étang puis le cours du Ruisseau de Létange avant de s’enfoncer dans le bois de Bulligny sur le chemin de la Cousan laissant la source du Rupt et la Fontaine du Muty pour une autre randonnée.
Arrivés au refuge des chasseurs nous commençons la descente assez raide vers Bulligny d’abord sur un chemin empierré puis bétonné et enfin goudronné. Au passage nous saluons le monument de la Pieta qui commémore la guerre de 1940-1945.
Ce lundi 13 janvier, froid mais très ensoleillé, nous sommes 55 dans le Bois de Rigny la Salle au lieu-dit « Sur les Monts » où se trouve le Monument du Sacré Cœur, stèle en pierre d’Euville surmontée d’une statue du Christ. L’abbé Laqueste lors de la guerre 14-.18, fit le vœu d’ériger une chapelle dédiée au Sacré Cœur si ses paroisses d’Ugny et des deux Rigny étaient épargnées par la guerre. Il fut exaucé mais il n’a pu collecter une somme suffisante pour une chapelle, et a érigé cette stèle inaugurée le 6 Septembre 1936.
Ce samedi 11 janvier nous sommes 53 au monument aux morts de Vaucouleurs armés de nos lampes de poche pour une marche nocturne de 7 km destinée à ouvrir les appétits avant la dégustation de la soupe aux pois. Prenant l’ancienne voie romaine vers la Maison de Retraite puis l’ancienne route de Joinville nous nous hissons à travers bois vers le Plateau de Bussy avant de revenir vers le Chemin du Grand Ban. Après une incursion parmi les jardins du Chemin des Plantes nous contournons le collège. Le Chemin de Grivaux nous mène à la D960 que nous abandonnons vite pour entrer dans la zone lotie par les rues Charles Péguy et Victor Hugo puis la rue du Manège nous conduit aux rues de La Fontaine et de Molière. Enfin nous faisons le tour du Champ Bojot pour retrouver l’Avenue de Domrémy.
Ce vendredi 12 janvier nous sommes 32 à Ville Issey pour un parcours de 7,5 km. La Meuse ayant débordé sur plusieurs routes, nous avons dû passer par Commercy et traverser Euville, célèbre pour sa pierre, pour rejoindre Ville Issey.
Napoléon III a demandé à son Préfet, le baron Hausmann, de faire de Paris une capitale moderne. Une première série de travaux est lancée dès 1853. En 1853 la société Civet expédie depuis la toute nouvelle gare de Commercy les premiers blocs de pierre d’Euville à Paris.
Ce lundi 6 janvier, un vent de tempête souffle et la pluie se déchaîne sur les 46 marcheurs au départ de Pagny sur Meuse pour un parcours de 9 km (10,6 km pour les courageux). Nous passons à pieds mouillés sous la RN4 car la Meuse occupe le terrain. Peu après, la pluie cesse et le circuit, qui nous fait passer au pied de la carrière du Révoi jusqu’au Fond de Louvau, nous tient à l’abri du vent. Puis nous traversons la RN4 et la D400 pour rejoindre le canal de la Marne au Rhin.
Ce vendredi 3 janvier froid mais ensoleillé, nous sommes 31 au plateau de Bussy pour une balade de 7,8 km qui commence par une longue descente qui serpente dans Vaucouleurs jusqu’au Champ Bojot. Il s’ensuit une longue montée qui nous conduit au lieu-dit le Rosier Brûlé et nous offre une superbe vue au-delà de Vaucouleurs et de Chalaines sur les mamelons alentour qui culminent entre 300 et 400 m. La neige s’accroche aux sommets accentuant le relief. Toujours en grimpant, nous avançons au-dessus de Neuville-les-Vaucouleurs puis de Montigny-les-Vaucouleurs élargissant le panorama que referme le Bois des Hoëttes. Le GR 703 nous ramène à plat vers Vaucouleurs à travers le Grand Bussy aux arbres givrés. Bien que très sensibles aux charmes des coteaux et collines enneigés, les marcheurs ont beaucoup parlé de la soirée du Réveillon, de l’excellence du repas, de l’ambiance sympathique qui a prévalu, des rires et de la bonne humeur presque jusqu’au bout de la nuit. Voilà une année qui commence bien.
Mireille
Pour la dernière rando de l'année, Jean Paul guide les 23 marcheurs au départ de Neuville sur un parcours de 7.7 km.
Depuis le Monument des Ânes, nous suivons le chemin de la Corvée pour monter vers le Bois de Neuville où nous cheminons sur des chemins à plat.
Nous longeons le bois des Ossées en limite du bois des Houettes de Vaucouleurs. Après les pauses friandises, nous suivons le grand chemin en direction de Neuville avec de belles vues panoramiques ensoleillées sur la vallée de la Meuse.
A l'année prochaine pour de nouvelles randos.
Meilleurs Voeux à tous.
Beaucoup de marcheurs étant occupés à préparer le réveillon de Noël, nous n'étions que 19 au départ de Brixey aux Chanoines pour un parcours de 10.3 km.
Nous randonnons en un seul groupe vers le Bois de Brixey et après une seule montée, nous longeons la Côte Saint Gérard avec de belles vues panoramiques, sur la plaine de Ruppes, Punnerot, Clérey la Côte et Jubainville. Nous entrons dans le département des Vosges avec des traces de neige dans des chemins boueux par endroits après les pluies du week -end.
En arrivant à la chapelle de Beauregard, nous admirons la vallée de la Meuse inondée en direction de Neufchâteau. Par le chemin de Champ la Dame, nous rejoignons Brixey à la nuit tombante, où nous bénéficions encore de belles vues sur la vallée inondée.
Ce vendredi 20 décembre nous sommes 25 à Rigny Saint Martin pour un parcours de 8,4 km qui nous mène à Gibeaumeix. Nous prenons le chemin à la sortie du village qui se prolonge le long de la berge du ruisseau l’Aroffe.
La plupart des deuilles sont des résurgences de l’Aroffe, ruisseau long de 50 km, qui prend sa source à Beuvezin (54). Il traverse des communes en Meurthe et Moselle, dans les Vosges et en Meuse. L’Aroffe reçoit le Ru de Vicherey dans le village d’Aroffe, disparait par endroit sous terre à partir de Gémonville, réapparait à Barisey au Plain, reçoit des ruisseaux affluents à Saulxures, Housselmont, Allamps, Uruffe, et enfin à Rigny Saint Martin le Saint Fiacre. Dès lors il se nomme Baumelle puis Goulot de Meuse. Il se jette dans la Meuse à Rigny la Salle (55).
Pour la dernière rando douce de l'année, nous sommes 17 pour un parcours de 4.5 km dans les rues de Vaucouleurs.
Jean Marie nous guide vers Tusey, puis direction plein sud en longeant la déviation pour arriver au Champ Bojot pour la traditionnelle visite du Village de Noël. Lucette, Marie Ange et Sylvie, nous accueillent chez nos hôtes du jour.
Nous admirons l'oeuvre entièrement fabriquée des mains de Noël et Christine. Tout a commencé par une crèche et au fil des années, de nouveaux modules sont ajoutés. 400 santons + les animaux y trouvent leur place dans des décors de Provence ou de la région sans oublier notre Jeanne d'Arc. Une véritable oeuvre artistique qui a nécessité des centaines d'heures de travail et de patience avec encore plein de projets d'extension pour les prochaines années.
La visite se termine par une collation avec vin chaud préparée par Lucette et ses amies.
Un Grand MERCI pour cet accueil chaleureux et félicitations pour le travail accompli.
A l'année prochaine pour une nouvelle série de randos douces.
Ce lundi 16 décembre nous sommes 61 à l’ancienne gare de Maxey sur Vaise pour un parcours de 8,5 km (10 km pour les courageux). Les régionaux de l’étape s’affairent à la préparation du goûter de Noël dans la salle des fêtes prêtée gracieusement par la Mairie que nous remercions. Nous, les marcheurs, traversons la D964 et nous dirigeons vers la Croix Saint Matthieu près de la chapelle Notre Dame des Grâces (16ème siècle). Nous suivons le chemin Sous la Scée et grimpons jusqu’à la Source Salmon puis la descente nous offre une agréable vue sur Taillancourt et le château Renaissance de Montbras . Sans entrer dans Taillancourt nous suivons le chemin dans la plaine vers la salle des fêtes.
Ce vendredi 13 décembre nous sommes 32 à Ourches pour un parcours de 8 km. Notre circuit commence par une côte qui passe devant le château d’Ourches.
En 1229 la maison d’Ourches est donnée à Rémy d’Ourches, écuyer, grand serviteur de l’Etat qui organise en 1239 la rencontre à Vaucouleurs entre Saint Louis et Frédéric II. En juin 1239 il part en croisade avec Henri II de Bar qui mourra à Gaza et Thibaut IV de Champagne avec lequel il revient en 1241. Puis Rémy d’Ourches repartira avec Saint Louis pour la 7ème croisade et mourra à Damiette.
Nous sommes 27 pour une petite marche dans les rues de Rigny la Salle sous la conduite de Jean Marie.
A 15h00, nous nous dirigeons vers la fabrique de boîtes en bois, où nous sommes accueillis par Pascal Aubry qui nous explique les différentes phases de la fabrication.
Visite très agréable qui se termine par un goûter offert par la direction.
Martial
Ce 9 décembre nous sommes 56 à Goussaincourt pour un parcours de 10,2 km (11,4 km pour les courageux).
Si vous passez par GOUSSAINCOURT, vous remarquerez l’église du XVème reconstruite en 1782 et les statues des jumeaux Saint Gervais et Saint Protais qui ornent la fontaine élevée au 18ème siècle sur la source du ruisseau du village. Quant au château construit au 14ème siècle, il a été remanié au 16ème, 17ème et 18ème siècle et restauré par son propriétaire actuel.
Sur 61 inscrits, nous n'étions plus que 56 au moment du départ de Vaucouleurs en direction de Scy Chazelles pour une rando matinale.
Sur un parcours à plat de 7 km, nous longeons la Moselle sur la voie verte pour arriver à Metz à midi pile, où nous attendait une excellente choucroute à la Brasserie du Rond-Point.
L'après-midi était réservé à une visite guidée en deux groupes organisée par l'Office de Tourisme. Entre la Gare de Metz, la Cathédrale, les rues historiques, nous avons bénéficié d'explications historiques et architecturales.
Nous avons terminé la journée par une visite rapide du Marché de Noël et dégustation de vin chaud. avec en final la traversée du magnifique Sentier des Lanternes.
Encore une belle journée entre amis, où nous avons bénéficié d'un temps idéal , frais sans une goutte de pluie.
Ce lundi 2 décembre nous sommes 57 à Gondrecourt-le-Château pour un parcours de 9,6 km (10,7 km pour les courageux). Nous n’entrons pas dans la ville et ne verrons pas la Tour Ronde du XVème siècle, dernier vestige d’un ancien château fort érigé au XIème siècle et démantelé sur ordre de Richelieu en 1633.
Nous montons par le lieu-dit la Molière pour rejoindre le chemin qui descend vers le lieu-dit le Chêne Pouilleux. Puis nous suivons La Grande Vallée (nous traversons la D193) jusqu’au niveau du Boudapré. Nous nous dirigeons par le Fond des Mandes vers la D193 que nous empruntons brièvement et prenons le chemin entre Champ des Fèves et Grange aux Chiens pour regagner Gondrecourt.
Ce vendredi 29 novembre ensoleillé, nous sommes 32 au cimetière entre Sorcy et St Martin pour un parcours de 8,8 km.
Le village primitif de Sorcy était situé en hauteur sur la colline Saint Jean. C’est vers le Xème siècle que celui-ci s’établit à l’endroit actuel par l’édification d’un château auquel se sont greffés fermes, moulins etc…La seigneurie de Sorcy a compté jusqu’à 5 châteaux : le Gros château, le Petit château, le château Emi, le château Bas, et le château Saint Vincent. Cinq seigneuries se partageaient Sorcy. Au cimetière, où nous laissons nos voitures, nous apercevons la croix de mission, premier des calvaires qui caractérisent le village: la Croix Mairel, la Croix Châtel, la Grande Croix, et la Croix Charles.
Nous sommes 18 au départ de Vannes le Chatel. Nous débutons, après un contrôle technique des bretelles des sacs à dos, sous un soleil radieux.
Après quelques kilomètres, nous rencontrons un équidé en liberté qui s'intéresse aux friandises de nos sacs. Nous tentons de le remettre dans son parc sans succès.
Nous arrivons dans les cités ouvrières des cristalliers où nous nous arrêtons devant l'ancien café de Marie Jeanne.
A la fin de la marche de 5.5 km, la pluie s'invite jusqu'au parking, puis visite de l'exposition du CERFAV
Martial
Ce lundi 25 novembre après un long cheminement en voiture entre le Bois de Longor et le Bois de Moncel, nous sommes 34 près de Lay-St–Rémy au lieu-dit La Haie du Chenet dans le Val de l’Ane pour un parcours dans le Bois de Grammont de 10 km (12,5 km pour les courageux).
Au XIXème siècle, la découverte de galets siliceux provenant des Vosges dans les alluvions de la Meuse a apporté la preuve que le lit de la Moselle à l’époque préhistorique se trouvait entre Toul et Pagny sur Meuse dans le Val de L’Ane et que la Moselle se jetait dans la Meuse. La cause du changement de cap de la Moselle vers la Meurthe semble être l’affaissement du rift rhénan.
Ce vendredi 22 novembre clair nous sommes 33 sur la grand’ place de Taillancourt à vouloir braver le froid durant 7,5 km pour ensuite fêter le Beaujolais.
Nous passons devant le lavoir construit au 18ème siècle et restauré en 1853 par Merdier. Le toit couvert en tuiles violon est surmonté par un lanterneau en surélévation éclairant le bassin par le haut en complément des quatre baies rectangulaires percées sur le côté. La charpente de chêne est impressionnante.
Ce lundi 18 novembre nous sommes 52 sous la halle de Vannes-le-Chatel pour un parcours de 9,6 km (11,7 km pour les courageux).
Dès le début du 14° siècle, la seigneurie de Vannes a appartenu aux de Ligniville. Jean-Jacques De Ligniville, en 1571, reconstruisit le château ancestral et édifia la chapelle seigneuriale et le caveau familial. Ses descendants se sont succédés jusqu’à Jean-Jacques III qui vendit la seigneurie de Vannes à Bernard de Rheims, dont le fils épousa Rose de Barbarat de Marizot. Celle-ci posa en 1765 la première pierre de la verrerie de Vannes, située sur le territoire d’Allamps, mais dont le nom vient de celui de la seigneurie. Rose vendit la verrerie à M de Saint Léger en 1775. Il la céda en1788 à Nicolas Griveau qui mourut en 1823.
Ce vendredi 15 novembre nous sommes 34 à Void au pied de la RN4 pour un parcours sans dénivelé de 8,2 km. Nous passons devant le cimetière et longeons la RN4 avant d’obliquer vers le lieu-dit Becs des Cygnes, puis la Babelotte où nous rejoignons la Meuse, et retour par la Laie, Quintainaux, les Planchottes et Faucompierre.
L’histoire de Void remonte à l’occupation par les Romains. Une ville nommée Noviantum se trouvait alors sur la voie qui reliait l’oppidum de Boviolles au Châtel de Sorcy. Au 11ème siècle Noviant a périclité et une nouvelle cité, Vedum (Void), possession de l’Evêché de Toul, a prospéré.
Ce lundi 11 novembre nous sommes 23 à Vaucouleurs dans la bruine pour un parcours de 9,5 km qui nous conduit à Tusey.
A Tusey, les Carolingiens (règne 751 - 987), avaient déjà construit un palais. Au 10ème siècle, le roi de France Charles le Simple (règne 893 – 923), donna à son épouse, sœur du roi d’Angleterre, le domaine royal de Tusey qui englobait le hameau de Vaucouleurs. A partir du 16ème siècle, Tusey a eu son église, dédiée à St Rémi, qui fut l’église-mère de Vaucouleurs.
Ce vendredi 8 novembre embrumé, nous sommes 34 à Sepvigny pour une balade de 7,8 km. Depuis le bord de la Meuse, nous contournons le village et traversons la D145 pour grimper doucement le Fond de la Vau jusqu’au lieu-dit Les Belles Bornes. Après la descente vers le « jardin des plantes grimpantes », on prend la direction de la ferme de la Biquotte. Avant de l’atteindre on tourne sur le large chemin qui descend la Côte Léja ce qui nous permet d’apercevoir dans la brume, la Meuse, Burey en Vaux, Neuville-les-Vaucouleurs, et Vaucouleurs. Prudemment nous suivons la D145 vers la Chapelle romane du Vieux Astre c’est-à-dire du vieux cimetière. C’était le chœur de l’ancienne église paroissiale de Sepvigny du 12ème siècle. Elle est décorée de remarquables fresques datées des 15ème et 16ème siècles.
Nous sommes 24 au départ de la Zone de Tusey pour une rando de 5 km tout à plat empruntant l'ancienne voie ferrée en direction d'Ugny.
Nous cheminons tranquillement sur un beau sentier en sous-bois en marchant sur les feuilles mortes en longeant par endroits la Meuse .
A proximité de l'ancien passage à niveau près d'Ugny, et après la pause friandises, nous retournons sur nos pas et ainsi les derniers se retrouvent les premiers...
Avec les papotements d'usage, nous arrivons à destination, satisfaits de ce bel après-midi automnal.
Ce lundi 4 novembre très brumeux, nous sommes 54 à Rosières-en-Blois pour un parcours de 9,5 km (plus de 11 km pour les courageux), qui nous amène à Gérauvilliers.
L’église de Rosières construite au XIIIème siècle, est dédiée à Saint Genebaud, neveu de Saint Rémi. Il fut nommé par ce dernier premier évêque de Laon bien qu’il eut déjà une famille. Mais après son ordination, alors qu’il avait fait vœu de chasteté, il eut encore deux fois des enfants ce que Saint Rémi sanctionna en l’envoyant pendant sept ans dans une cellule en pénitence. Genebaud mourut en 550.
Ce lundi 28 octobre très ensoleillé, nous sommes 59 à Chalaines pour un parcours de 10 km (plus de 11 km pour les courageux) qui relie les villages de Chalaines-Rigny Saint Martin-Rigny la Salle. Au départ à Chalaines, le lieu-dit Rouvel offre une belle vue sur Rigny Saint Martin, Rigny la Salle, la carrière de Saint Germain, Ugny, le haut du donjon du château de Gombervaux, et Vaucouleurs. On rejoint la sommière du Bois de la Fouée. Au milieu du bois on descend une pente raide qui mène sur le chemin bas. On foule bruyamment les feuilles mortes. On débouche sur la vallée de l’Aroffe avec vue sur les deux Rigny et Gibeaumeix au loin.
Nous sommes 36 à profiter de l'été indien au départ du sommet de la Blanche Côte. Nous descendons vers Champougny et seul un petit groupe fait un aller et retour vers la Chapelle Notre Dame des Affligés.
Ensuite nous montons en pente douce la vallée de Palinvau, puis nous bifurquons vers le Fort de Pagny.
Retour par le haut de la côte des Vignes, et passage devant l'ancienne Batterie de Pagny.
A l'arrivée, nous admirons les figures de quelques parapentistes survolant Pagny.
Un beau parcours de 7.5 km parcouru sous un chaud soleil automnal.
Sous un beau soleil automnal, 19 marcheurs se rassemblent devant l'église ronde de Rigny Saint Martin. Direction Rigny la Salle en empruntant le chemin à plat dit de la Voie des Morts.
Durant le parcours la troupe s'agrandit à 22, car Monique et ses 2 petits enfants viennent à la rencontre du groupe.
A Rigny la Salle, contournement par l'arrière en passant devant le terrain de foot en cours de tonte par le président du club local.
Retour à Rigny Saint Martin par le même chemin pour une distance totale de 5 km à allure adaptée.
Ce lundi 21 octobre très ensoleillé nous sommes 50 à Sionne (Vosges) pour un parcours de 10,6 km (12 km pour les courageux) qui nous a conduit d’abord par le Vau puis à travers le Bois de Sionne vers la ferme de Rorthey. La maison forte initiale appartenait à l’évêché de Toul au 11ème siècle. C’est Jeoffroy de Bourlemont qui a construit un véritable château fort au 13ème siècle. Aujourd’hui c’est une propriété privée.
A la fin du 16ème siècle, le destin des héritiers du château de Gombervaux proche de Vaucouleurs, a croisé celui des héritiers de Rorthey sur fond de guerre de religion. Philippe des Salles seigneur de Gombervaux, fidèle au catholicisme et au Duc de Lorraine, avait eu six enfants.
Ce vendredi 18 octobre nous sommes 24 près du château de Sauvoy pour un parcours de 7 km. Le temps est très doux et les bois revêtent peu à peu les couleurs d’automne. Nous passons à l’arrière du village pour traverser le canal de la Marne au Rhin puis la Méholle. La Méholle prend sa source dans les bois sur le territoire de Mauvages. Longue de 17,7 km, elle baigne Mauvages, Villeroy sur Méholle, Sauvoy, et Void-Vacon où elle se jette dans la Meuse. Son cours tout en méandres dans de vertes prairies renforce le côté bucolique du paysage.
Nous montons dans le Bois Cheté jusqu’au lieu-dit la Grande Noue et effectuons un tour complet du bois non sans faire halte auprès de la rigole d’alimentation du canal pour l’heure à sec. Nous redescendons par le lieu-dit le Valizé jusqu’à la Cressonnière. Le ruisseau de Broussey coule d’abondance et vient se jeter dans la Méholle. Le chemin du retour longe le canal.
Merci aux généreux donateurs de friandises durant cette belle balade que la pluie a épargnée.
Mireille
Nous sommes 20 randonneurs au départ de Vacon pour une balade de 5.5 km très agréable sous un chaud soleil.
Après quelques grimpettes pour nous mettre en jambes, nous débouchons sur le plateau avec vue sur Naives en Blois.
Sur le chemin du retour, nous visitons la chèvrerie du Moulin. Très bon accueil dans un cadre bucolique entouré d'eau .
Martial
Ce lundi 14 octobre sous un doux soleil d’automne, nous sommes 56 à Commercy pour un parcours de 9,8 km (12,2 km pour les courageux) dans la forêt de Commercy qui nous conduit à la Fontaine Royale avec retour par la Route Forestière du Cardinal et l’Allée des Tilleuls.
En 1662, Jean-François Paul de Gondi, Cardinal de Retz, héritier du château, y est astreint à résidence par Louis XIV pour sanction de sa participation à la Fronde. Commercy aux marches du Duché de Lorraine, du Barrois et du Royaume de France, est éloigné de Paris. Le Cardinal transforme le château fort en château résidentiel.
Par un beau vendredi ensoleillé, Gérard nous propose un parcours bien connu qui se résume à un aller-retour de 8 km entre Amanty et Epiez. L'avantage est que nous parcourons un bon chemin sans difficultés.
Après la photo de groupe devant le lavoir d'Amanty, les 29 marcheurs cheminent vers Epiez, où nous faisons une petite pause avant le retour.
A l'entrée d'Amanty, certains font un petit crochet vers le cimetière pour admirer la petite chapelle récemment rénovée et inaugurée.
En cette année olympique où la flamme a traversé notre département, les Olympiades à l'Ehpad ont eu une saveur particulière pour les résidents et les 13 bénévoles du Pied Champêtre.
Après le repas en musique, et le passage de la flamme spécialement rallumée, ils ont accompagné les participants aux jeux de balles, tennis, boccia et autres jeux de mémoire en présence des autorités.
En ce lundi, petite troupe de 36 marcheurs après à un week-end chargé avec Octobre Rose et la fête de la Rando.
Le président félicite Marie Jeanne qui est la seule à avoir participé aux sept dernières randonnées, puisqu'elle participe aussi aux randos douces du mercredi.
Bernard a préparé des parcours inédits de 10.6 km et 11.6 km depuis Reffroy. Montée en deux groupes vers la forêt de Marson sur des chemins parfois glissants. En deuxième partie, une pluie fine nous a accompagnés jusqu'au sommet du plateau de Bouzemont.
Retour à Reffroy sous un ciel gris.
Nous sommes 41 à monter dans le car mis gratuitement à notre disposition par le Comité Départemental de Randonnée Pédestre. Au passage à Lérouville, 10 marcheurs de la Vadrouille nous rejoignent.
Sur place à Belleville, rando à la carte : un groupe de 8 suit le parcours de 16 km, un deuxième groupe de 24 emprunte le parcours 11 km. Les 9 autres restent sur place pour une rando santé guidée de 7 km.
De beaux parcours avec des ravitaillements bien achalandés et de magnifiques vues panoramiques sur Verdun.
Le premier groupe a atteint les sites historiques de la guerre et a pique-niqué en cours de route. Les autres ont pique-niqué à l'arrivée ou se sont rassasiés aux food-trucks.
A la fin, certains ont profité d'une initiation au Bungypump : marche dynamique avec des bâtons à ressorts. De nouvelles vocations vont naître!!!.
Une belle journée bien organisée qui a bien plu à tous les participants avec la rencontre des amis des autres clubs de Meuse.
Pour la 3ème année, Les Tailbras de Taillancourt et Montbras organisent Octobre Rose au profit de la recherche sur le cancer du sein. Dès la veille, les baliseurs du Pied Champêtre avaient fléché les deux parcours de 7 et 11km.
Sous un beau soleil à 9h00, les 50 premiers marcheurs, dont majorité du Pied, démarrent pour le parcours de 11 km, vers Champougny, puis montée de la Blanche Côte et retour par Champougny et Maxey sur Vaise.
A 9h30, un autre petit groupe du Pied s'élance pour le 7 km. A Taillancourt, il y a possibilité de raccourcir à 2 km en traversant le village vers l'ancienne voie ferrée.
Le gué du chemin de la prairie étant impraticable, nous empruntons la route et près de Champougny, nous laissons le village sur le côté pour rejoindre tranquillement la gare de Maxey, où un ravitaillement est bien apprécié.
Retour par le chemin de l'ancienne voie ferrée parsemée de dessins des élèves de l'école de Maxey.
D'autres groupes ont suivi sur les deux parcours, puisque plus de 160 marcheurs se sont inscrits.
A l'arrivée, rafraîchissement et Foodtruck, ainsi que la possibilité de pique-niquer.
Une belle opération à renouveler.
Par un beau vendredi automnal, nous sommes 37 sur le plateau de Sauvigny à l'entrée de la Forêt Communale. Après quelques mètres nous passons à côté de la Croix Pancarnel dont les inscriptions sont difficilement déchiffrables.
Nous cheminons sur de beaux chemins et lignes bien dégagées par les chasseurs. Après une incursion dans les Vosges, nous arrivons à la borne à l'intersection de 3 départements : 54 (Mont l'Etroit), 55 (Sauvigny) et 88 (Clérey la Côte). Pour la photo, chacun pose sur son département de naissance, sinon d'habitation.
Le guide a été obligé de modifier et raccourcir le parcours, car une ligne prévue était inexistante.
Nous arrivons à nos véhicules après un parcours de 6.8 km avec peu de dénivelé à part une petite descente glissante passée allègrement sans chute.
En ce lundi nuageux, nous sommes 52 au départ du circuit balisé n°2 dit de la Chapelle de Massey. La cohorte des deux groupes se dirige vers la carrière Novacarb, puis suit le sentier dans le sens inverse du balisage pour avoir une autre vision.
Au passage une partie du groupe descend jusqu'à la Chapelle de Massey récemment rénovée.
Et c'est après que les difficultés commencent : montée glissante, puis chemin boueux encombré de branches mortes et caillasse.
Arrivés au point culminant, nous voyons au loin une famille de sangliers traverser le chemin trop rapidement pour être photographiée.
Retour par un bon chemin blanc glissant par endroits (nouvelle chute de la présidence, mais le nouveau gobelet est intact!!!). Le 1er groupe nous rejoint à l'endroit de la partie commune.
Deux parcours de 10.4 km et 11.8 km parcourus par un temps idéal avec quelques gouttelettes de pluie au départ et à l'arrivée.
Au départ du bas de Saint Germain, nous sommes 30 à traverser la Meuse sous la conduite de Jean Marie en direction de la prairie.
En longeant un bois, le sentier se ferme et nous faisons du hors piste pour retrouver le bon chemin.
Après avoir résolu le problème du pantalon qui ne tenait plus...,nous contournons Ourches par les hauteurs, puis nous entrons dans le village.
Après le passage sur le pont provisoire de 1940 enjambant la Meuse, nous rejoignons Saint Germain par la prairie.
Nous faisons un petit coucou à Yoyo notre ancienne Mère Picsou.
Un beau parcours sous le vent de 7.4 km.
Denis remplace au pied levé Jean Marie qui a déclaré forfait, ainsi que les nombreux marcheurs du mercredi effrayés par l'averse de midi.
Finalement nous sommes quand même 8 courageux au départ de la Zone de Tusey par un temps couvert et doux. Nous contournons la zone, puis nous redescendons pour emprunter le sentier bucolique de l'ancienne voie ferrée en direction d'Ugny.
Nous retournons sur nos pas en suivant le sentier jusqu'à notre point de départ sans une goutte de pluie.
Les participants ont apprécié ce parcours de 4.9 km que les nouveaux ont découvert et apprécié. Les absents ont eu tort.
En ce lundi de lendemain du week-end à Bitche nous sommes 47 au départ de Houdelaincourt sur des parcours préparés par Jean Luc.
Le premier groupe démarre pour une rando de 12.5 km vers les arrières d'Abainville par l'ancienne voie ferrée, puis remonte vers la campagne entre Bonnet et Houdelaincourt.
Le deuxième groupe chemine dans la campagne et en fin de parcours, il est décidé de raccourcir à 8.8 km pour profiter de la traversée du village et admirer la belle fontaine.
En ce vendredi sous un chaud soleil estival, nous sommes 21 au départ de NAIVES EN BLOIS sous la conduite de Bernard.
Après l'arrivée des retardataires qui se sont perdus entre Broussey et Naives, nous démarrons à travers la campagne et nous apprécions ensuite d'entrer dans la forêt sur de beaux chemins ombragés.
Après le Bois de la Sarthe et la traversée de la départementale 29, nous cheminons dans le Bois d'Inglure pour terminer par un chemin blanc vers Naives.
Merci à Bernard pour ce beau parcours en partie inédit de 7.8 km.
En ce lundi matin nous sommes 44 à monter dans le car en destination de la Butte de Montsec. Après la photo devant le monument américain, nous faisons deux groupes pour des randonnées à la carte.
Le premier groupe de 30, guidé par Gérard et Jean Luc, démarre pour un parcours de 11 km jusqu'à la base d'Heudicourt.
Un deuxième groupe plus cool de 11, guidé par Denis s'arrête à la base de Nonsard pour un parcours de 8 km.
Un mini-groupe de 3 touristes se promène sur le site de Madine.
Au passage au village de Montsec le 2ème groupe savoure un petit café chez la sympathique Pépette.
Ce vendredi 13 septembre nous sommes 33 à Delouze, commune fusionnée avec Rosières, pour un parcours de 7,7 km sous un soleil automnal. Delouze possède deux belles fontaines et deux lavoirs dont le lavoir Saint Pierre qui a une belle charpente traditionnelle en bois. A l’origine le lavoir n’était qu’une pierre plate ou une planche posée au bord d’un cours d’eau sans abri. Les épidémies et les politiques hygiénistes qui s’ensuivent entrainent le développement de constructions spécifiques dès la fin du 18ème siècle. Les épidémies de choléra, de variole, et de typhoïde, inciteront le Parlement à voter la loi de 1851 qui accorde une subvention de 30% pour la construction de lavoirs couverts.
Nous étions 112 inscrits au Repas Champêtre sous les hauts de Vaucouleurs dans la propriété d'Annie et Pierrot pour fêter la fin de vacances et la reprise, bien que les activités n'aient jamais cessé...
Pour se mettre en jambes, une petite troupe d'une vingtaine de marcheurs a parcouru 8.5 km sous la houlette de Gérard vers Montigny.
Auparavant, le chapiteau avait été monté et les équipes de restaurateurs étaient à l'œuvre : une équipe pour les amuse-bouches et desserts, une équipe pour les entrées, une équipe pour le boeuf à la brésilienne et les frites fraîches, sans oublier l'équipe du bar.
Ce vendredi 6 septembre ensoleillé nous sommes 21 devant le cimetière de Goussaincourt pour une marche de 8 km. Nous parvenons en bordure de GOUSSAINCOURT à une croix sur laquelle une plaque indique « Mission de Toul 1766 ». Les croix de mission étaient érigées pour commémorer une manifestation appelée « mission » durant laquelle les prêtres « missionnaires » qui parcouraient le pays pour les organiser prêchaient de façon « percutante » pour stimuler la foi des fidèles. A la fin de chaque mission, on élevait une croix.
Ce lundi 02 septembre, nous reprenons les marches l'aprés midi. Nous sommes 27 au rendez vous sur le parking au dessus de Blénod les Toul. Le premier groupe est composé de 10 participants pour un circuit de 11.2 Kms avec 242 m de dénivelé, il est guidé par Patrick.
Jean Paul emmène les 17 autres pour 10 Kms et 224 m de montées.
Ce lundi 26 août ensoleillé nous sommes 33 à Taillancourt pour un parcours de 10 km (11,1 km pour les courageux) dans le Bois de Taillancourt au départ de la baraque de chasse. Taillancourt possède un lavoir singulier, construit au XVIIIème siècle et restauré en 1853 par Merdier. Alimenté par un bras de la Haute Meuse, il est précédé d’un porche en pierre de taille comportant une porte plein cintre. Le toit couvert en tuiles violon est surmonté par un lanterneau en surélévation éclairant le bassin par le haut en complément des quatre baies rectangulaires percées sur le côté. La charpente de chêne est impressionnante.
En ce beau lundi d'août, nous sommes quand même 33 au départ de la Croix Maury à Troussey, juste après le passage sous le canal et la voie ferrée.
En deux groupes, nous partons vers la forêt domaniale de Dommartin aux Fours qui était un village disparu, rattaché à Troussey.
Puis nous entrons dans le Bois La Ville de Sorcy par un chemin blanc et au retour nous suivons un beau chemin de terre agréablement ombragé en passant devant la baraque de chasse de Sorcy.
Au sortir de la forêt, nous bénéficions d'une superbe vue panoramique sur les fours à chaux et sur le village de Troussey.
Merci à Bernard pour ces beaux parcours totalement inédits de 10 et 11.5 km.
Ce lundi ensoleillé et chaud nous sommes 38 à la baraque des chasseurs route de Sauvoy pour un parcours à l’abri des arbres de 10 km (plus de 11 km pour les courageux). Les chemins sont secs mais l’herbe est haute et dissimule des obstacles à la marche. C’est pourquoi au lieu-dit « Quart en Réserve », Monique a fait une chute. Son poignet et sa tempe ont tapé le sol. Denis a récupéré sa voiture pour la raccompagner chez elle et prévenir sa fille qui a pris le relai. Après avoir longé la vallée de la Méholle et la route de Mauvages, nous empruntons la tranchée Lebon où une stèle rappelle le lieu où, en 1871, un garde forestier du nom de Lebon a été assassiné. Puis d’un commun accord nous revenons par la route forestière, certes longue, mais gravillonnée et plate où la marche est aisée.
Ce lundi 5 août nous sommes 28 sur la D114 Uruffe-Blénod à la « Porte d’Uruffe », un des accès au circuit « Cœur de vert » pour un parcours de 10 km (plus de 11 km pour les courageux) dans la Forêt de Meine. En 1993 le Conseil Départemental de Meurthe et Moselle a lancé une politique de préservation des Espaces Naturels Sensibles (ENS) dont fait partie le massif de Meine entretenu par l’ONF. Une partie de la forêt a été classée ENS, préservée mais ouverte au public et aménagée en parcours de randonnée de 4,5 km, balisé par des rectangles jaunes sous un cœur vert, pour permettre la découverte de la faune et de la flore du site. On y accède par 5 portes depuis les communes avoisinantes : Porte d’Uruffe, Porte de Blénod-les-Toul, Porte de Vannes-le-Chatel, Porte de Bulligny, Porte d’Allamps distantes d’environ 2 km du parcours de découverte. Les portes sont des totems en forme de pyramides à 4 pans qui présentent le circuit de promenade et signalent les points d’intérêt à visiter dans la commune la plus proche.
Ce lundi 29 juillet nous sommes 34 à l’ancienne gare de Maxey sur Meuse pour un parcours de 9 km. Les chemins de fer se sont développés en France entre 1830 et 1870. De 1850 à 1874, trois lignes concernant notre région se sont construites. La ligne Paris-Strasbourg est ouverte par tronçons à partir de 1849: le tronçon Bar le Duc-Commercy en 1851 et Commercy-Nancy en 1852. De même une ligne relie Neufchâteau à Paris-Nancy-Strasbourg. Des lignes d’intérêt local ont également été ouvertes. A cette époque les trains desservaient la plupart des villes et villages. Dans une vitrine de la gare de Maxey, on peut voir une ancienne « pompe à bras » utilisée jadis par les pompiers pour arroser les incendies.
Ce dernier dimanche de juillet très ensoleillé, nous sommes 23 qui partons dès 8h15 du collège des Cuvelles à Vaucouleurs pour la traditionnelle marche vers la Chapelle Sainte Anne de 15,5 km aller et retour.
En suivant le balisage réalisé par le Pied Champêtre, nous marchons sur le GRP « au Pays de Jeanne » jusqu’à Montigny-les-Vaucouleurs. Connu pour ses faïenceries au XVIIIème siècle, Montigny s’est doté au XIXème de 4 fontaines. La Fontaine dédiée à Neptune se trouve non loin du lavoir-égayoir, Celle de la rue Sainte Anne est de style néoclassique, reconnaissable à son fronton triangulaire, à ses trois bassins, à sa vasque ornée de têtes de faunes et au dauphin sculpté au pied. La Fontaine Jeanne d’Arc est reconnaissable à la statue coulée aux fonderies de Tusey. Enfin la Fontaine de la Faïencerie (1845) est équipée de deux auges rectangulaires et d’un bassin semi-circulaire. Un dauphin orne sa base et un vase décore le sommet.
Ce vendredi 26 juillet nous sommes 22 devant le monument du Sacré Cœur dans le Bois de Rigny-la-Salle pour un parcours de 8 km. Au lieu-dit « Sur les Monts » s’élève la stèle dite du Sacré Cœur en pierre d’EUVILLE surmontée d’une statue du Christ, coulée par les établissements PIERSON, qui a une belle histoire. L’abbé LAQUESTE, curé d’UGNY et des deux RIGNY, lors de la guerre 14-.18, fit le vœu d’ériger une chapelle dédiée au Sacré Cœur si ses trois paroisses étaient épargnées par la guerre. Il fut exaucé car le front resta au-delà des trois villages. N’ayant pu collecter une somme suffisante pour une chapelle, ce fut cette stèle qui fut érigée et inaugurée le 6 Septembre 1936.
Ce lundi 22 juillet nous sommes 40 à partir pour une sortie à la journée dans les environs de Villey-Saint-Etienne.
Le matin un parcours de 10 km dans la forêt communale de Villey-Saint-Etienne nous fait découvrir la richesse de cette très belle forêt en chênes plusieurs fois centenaires. En outre nous croisons de beaux et forts chevaux de débardage qui ont l’avantage de causer moins de dégâts dans les bois que les engins à moteur.